hospitalisation dûe à l'alcool

hospitalisation dûe à l'alcool

jeudi 8 décembre 2011

La franchement les bras m'en tombe !


ALCOOL : « vodka soaked tampons », la nouvelle ivresse de certains jeunes

L’ingestion par voie anale ou vaginale d’alcool est le nouveau procédé inventé par certains jeunes pour parvenir à l’ivresse plus rapidement. Après le binge-drinking, l’alcoolorexie et même le eyeballing*, une nouvelle « tendance britannique », certains jeunes ont eu l’idée saugrenue d’imbiber des tampons périodiques de vodka puis de se les introduire dans l’anus, court-circuitant ainsi les barrières du tractus gastro-intestinal. Ivresse assurée et coma éthylique dans de nombreux cas…
Car le procédé « vodka soaked (imbiber) tampons » permet, avec une économie d’alcool, d’alimenter ainsi directement le système sanguin, par l’intermédiaire des membranes non protégés

dimanche 4 décembre 2011

TOUS RESPONSABLES

A l'approche des fêtes de fin d'année soyons tous responables.Celui qui conduit,c’est celui qui ne boit pas!


vendredi 2 décembre 2011

Alcool et Sexe: sujet tabou?



Quel est vraiment l'effet de l'alcool sur la sexualité ?


Boire un petit coup, c'est agréable ? Certes, mais pour les relations sexuelles, l'alcool est-il une aide utile ou un piège à éviter ? Nous avons pu nous entretenir avec le Dr Gonzague de Larocque, médecin sexologue et alcoologue (Paris), pour prendre en compte la réalité médicale et sortir des idées reçues au sujet de l'alcool et des relations sexuelles.
Un petit peu d'alcool a-t-il un effet sur la sexualité ? Et si oui, lequel ?
Dr de Larocque : Un peu d'alcool semble améliorer l'érection chez l'homme, retarder l'éjaculation. Mais ce n'est pas tout à fait exact. Il s'agit en partie d'une impression. En effet, si le ralentissement de l'éjaculation est réel sous l'effet de l'alcool et a été étudié scientifiquement, il n'en est pas de même pour l'érection.
L'effet d'un peu d'alcool sur l'érection est uniquement un effet d'attente. Si un homme pense avoir bu de l'alcool, son érection est de meilleure qualité, qu'il s'agisse vraiment d'alcool ou qu'il s'agisse d'une boisson que l'on a fait passer pour de l'alcool. En revanche, s'il croit boire une boisson non alcoolisée, son érection ne varie pas… même si en fait il s'agit d'alcool qu'on lui a caché.
Et pour les femmes, quel est l'effet de l'alcool sur les relations sexuelles ?
Dr de Larocque : Chez elles, l'effet de l'alcool est étonnant. À petites doses, il semble

jeudi 24 novembre 2011

La prévention de l'alcoolisme dès l'âge tendre


La prévention de l'alcoolisme dès l'âge tendre
Par Marielle Court - le 18/11/2011
Pour être efficaces, les campagnes de prévention doivent commencer dès l'entrée à l'école primaire, estiment des chercheurs français.
Plus on consomme de l'alcool jeune, plus grands sont les risques ultérieurs de dépendance. «Une prévention précoce est donc souhaitable, par exemple dès l'âge de l'entrée à l'école primaire», ont conclu dix chercheurs et cliniciens français dans une étude publiée à l'issue de la journée scientifique de l'Ireb (Institut de recherche scientifique sur les boissons).
Au plan épidémiologique, les études sur la population générale montrent non seulement une relation claire entre précocité des premières consommations d'alcool et dépendance. Elles révèlent aussi des risques accrus d'ivresse régulière et de consommation d'autres substances telles que le tabac et le cannabis. «Ceci est particulièrement important puisque l'âge moyen déclaré des premières consommation d'alcool baisse en moyenne d'un mois par an depuis les années 2000», rappelle l'étude. Il est passé de 12,5 à 11,2 ans pour les garçons et de 12,8 à 11,7 ans pour les filles. Pour autant, les constats actuels montrent que l'âge de la première ivresse n'a pas changé - 14,1 et 14,3 ans.
Les jeunes en danger repérables tôt

vendredi 18 novembre 2011

Les risques de l'alcoolisme au féminin

        
Qu'elles consomment dans un climat de honte, de solitude ou de clandestinité, pour faire la fête ou pour oublier un chagrin, que se soit sur une toile cirée ou dans les meilleurs restaurants, les femmes ont pris la funeste habitude de trop boire"

     Or, l'alcool n'a toujours pas droit de cité chez les femmes!


« Pour peu que l’on prenne le temps de les écouter, les femmes dépendantes de l’alcool avouent une anxiété latente, une pénible sensation d‘échec, et cette peur constante de ne pas être à la hauteur. Elles ont peur des enfants, peur des parents, peur du mari, peur de la solitude, peur du travail, peur du chômage et peur des dimanches ...

                                                         « Peur d ‘avoir peur ! »

 Les trois caractéristiques de l’alcoolisme au féminin restent la honte, la solitude et la clandestinité.

 Condamnées par la société.

 92% de ces femmes boivent en cachette.

 46% de ces mêmes femmes refusent d’en parler.

 65% des femmes malades de l’alcool sont également dépressives.

 46% accusent une dépendance au tabac et aux médicaments.

Beaucoup d’entre elles sont donc à la fois dépendantes de l’alcool, du tabac et des médicaments..

Si autrefois la Gervaise de Zola rassurait toutes celles qui ne lui ressemblaient pas, nous assistons aujourd’hui à une recrudescence de l’alcoolisme dit « mondain » ou « d‘affaires » . Hélas, que l’on boive du champagne, du whisky ou de la bière , les cirrhoses du foie et les atteintes neurologiques restent les mêmes . Dans l’esprit des autres, des gens bien, le jugement reste trop souvent implacable :

L’alcoolisme demeure une maladie honteuse, voire un vice ...

Le jour où les femmes réussiront à aborder leur vrai problème sans se sentir obligées de masquer leur détresse derrière une dépression nerveuse ou un vague mal de vivre , la maladie alcoolique deviendra une maladie à part entière , une maladie qui se soigne .

mercredi 2 novembre 2011

Nouveau mode d'alcoolisation?


L'alcoolorexie : manger moins pour être ivre plus vite
Par Pauline Fréour - le 21/10/2011
Une part non négligeable des jeunes femmes se priveraient de manger avant de sortir pour éviter de grossir et augmenter les effets de l'alcool. Un comportement qui n'est pas sans risques à long terme.
On connaissait l'anorexie, et le binge drinking (consommation d'une grande quantité d'alcool en très peu de temps). A ces comportements inquiétants en progression chez les jeunes viendrait s'ajouter «l'alcoolorexie», selon une étude réalisée par l'école du travail social de l'Université du Missouri. Le principe : se priver de manger avant une soirée arrosée pour limiter les calories ingérées, ressentir l'effet d'ivresse dès les premiers verres et dépenser moins d'argent en boissons.
Ce comportement pourrait concerner jusqu'à 16% des jeunes adultes, si l'on s'appuie sur un sondage en ligne réalisé auprès d'un millier d'étudiants en psychologie par l'équipe de Victoria Osborne, professeur en santé publique à l'Université du Missouri. Les femmes étaient trois fois plus nombreuses à faire part de ce comportement que les hommes, selon ces travaux présentés à plusieurs conférences mais non encore publiés.
Altération cérébrale à long terme

vendredi 28 octobre 2011

Alzheimer


Alzheimer : alcool et tabac facteurs aggravants

Mise à jour : 16/10/2011 –F.S

De nombreux travaux scientifiques indiquent que la maladie d'Alzheimer est favorisée par le mode de vie.
Et si la maladie d'Alzheimer était essentiellement une conséquence du mode de vie ? Pendant longtemps, les causes de cette grave dégénérescence cérébrale semblaient à la fois mystérieuses et teintées d'une vague coloration génétique. Ces dernières années, des travaux concordants de plus en plus denses indiquent que cette affection dramatique serait aussi liée à notre mode de vie. Et il apparaît que les facteurs qui affectent le cœur, notamment ceux responsables de lésions coronariennes, altèrent aussi le fonctionnement du cerveau avec l'âge. Si l'origine de la maladie d'Alzheimer n'est pas précisément connue, certains paramètres la favorisent, à l'évidence. Mercredi dernier, lors de la réunion annuelle de l'Académie américaine de neurologie à Chicago, une enquête mettant en évidence le fait que cette démence fréquente frappe plus précocement les gros fumeurs et les buveurs invétérés, a été présentée. Une autre étude dévoilée lors de cette conférence soutient que les personnes ayant une hypercholestérolémie dans leur quarantième année, ont un risque accru aussi d'en souffrir plus tard. Un troisième travail publié le 26 mars affirme, lui, qu'avoir un gros ventre en milieu de vie est également associé à plus de risque plus élevé.

mercredi 19 octobre 2011

Assemblée Générale Section Lannion-Tréguier



Le vendredi 14 octobre 2011 en présence de représentants départementaux, les adhérents de la section Alcool Assistance la Croix d’Or de Lannion-Tréguier se sont réunis en assemblée générale pour le renouvellement du bureau. Après votes à bulletins secrets et à l’unanimité ont été élus : Michel Nicol-Jean Paul Gicquel-Jean Pierre Soyer.
Le bureau ainsi composé : -Président : Jean Paul Gicquel.
                             - Trésorier : Michel Nicol
                             - Secrétaire : Jean pierre Soyer
Merci à toutes et à tous les adhérents de leur confiance et continuons tous ensemble ce long combat qu’est le fléau de l’alcoolisme. Sans oublier le problème grandissant de la polyconsommation des jeunes. Jean Paul

vendredi 7 octobre 2011

Est-on alcoolique à vie ?


Est-on alcoolique à vie ? Pour en finir avec certaines idées reçues
SANTÉ. Un ancien alcoolique qui s'est sorti de cette maladie, peut-il reboire un verre de temps à autre ? Pierre Veissière, psychologue, démontre qu'il n'y a malheureusement pas d'entre-deux lorsqu'on a déjà été dépendant à l'alcool.

L'alcoolique qui s'arrête de boire pour effectuer un sevrage caresse un rêve : celui de cesser de boire pendant le temps nécessaire à bien évacuer toute trace d'alcool de l'organisme, et ensuite, après cette purification, de pouvoir reboire normalement, comme tout le monde mais, cette fois, raisonnablement.
  Une personne qui a un usage nocif de l'alcool, qui s'alcoolise trop, ou trop fréquemment, est capable de diminuer sa consommation d'alcool si elle n'est pas alcoolique au sens strict, c'est-à-dire si elle n'est pas alcoolo-dépendante.
 Mais si elle l’est devenue, elle n'a pas, ou elle n'a plus, la capacité de maîtriser sa consommation d'alcool. Elle ne peut désormais ni la diminuer durablement, ni l'arrêter. Malgré les dégâts causés. Malgré la connaissance des conséquences néfastes.
 Un alcoolo-dépendant, dans l'alcool, ne peut pas s'empêcher de boire. Ceci est vrai pour les buveurs quotidiens comme pour les alcooliques intermittents. Il est donc fondamental de faire le diagnostic de dépendance, puisque le "consommateur excessif", dûment informé des risques qu'il encourt, peut arrêter sa consommation, ou la diminuer, alors que le dépendant en est incapable.

vendredi 16 septembre 2011

Combattre l'alcoolisme

Combattre l’alcoolisme : la thérapie la plus efficace c’est le groupe d’entraide.
ALCOOL. L'alcoolisme est une maladie dont on ne guérit pas. Mais pour mieux la vivre, il convient de s'arrêter de boire non pas ponctuellement mais sur une longue durée. Le groupe d'entraide offre une chance de maintenir l'abstinence.
Quand on envisage un sevrage, le mieux est de prendre contact avec un centre d'alcoologie, un "Centre de soins d'accompagnement et de prévention en Addictologie" (CSAPA), ou avec une association d'entraide. En tout cas cesser d'essayer d'arrêter de boire tout seul dans son coin : c'est un effort très pénible et, le plus souvent, voué, répétitivement, à l'échec.
Le soutien médical permet un sevrage, hospitalisé ou ambulatoire c'est à voir pour chaque cas, dans de bonnes conditions de sécurité. L'état général est traité, l'angoisse calmée, la dépression éventuelle aperçue.
Le sevrage n'est pas une cure en soi

lundi 12 septembre 2011

FORUMS DES ASSOCIATIONS

Merci à toutes et à tous de votre participation aux forums des associations de Lannion,Trégastel,Bégard.Jean-Paul







jeudi 8 septembre 2011

Forum des Associations de Bégard et Tregastel

Le forum des Associations de la ville de Bégard et Tregastel se déroulera le samedi 10 septembre 2011 de 14h à 18h.
La section Lannion-Tréguier d'Alcool Assistance la Croix d'Or vous invite à venir à son stand pour parler de l'addiction à l'alcool.
    Bégard à la M.J.C - Tregastel Salle omnisports.

mardi 23 août 2011

Forum des Associations de LANNION

Comme chaque année le Forum des Associations se tiendra au Complexe des Ursulines le samedi 3 septembre 2011 de 9h à 18h.La section Lannion-Tréguier d'Alcool Assistance la Croix d'Or vous invite à venir à son stand pour parler de l'addiction à l'alcool. Venez nombreux, nous ne jugeons pas le malade alcoolique.

dimanche 14 août 2011

Les drogues et l'adolescent

Les gros dégâts des drogues chez l’adolescent
Qu’il s’agisse de cocaïne, de tabac, d’alcool ou de toute autre assuétude, les dangers sont encore plus grands. A 12 ans, le cerveau de l’enfant n’a en effet pas terminé son développement. Le lobe frontal n’est fonctionnel qu’à 24 ans.
A douze ans, le cerveau de l’adolescent n’est qu’à mi-chemin de son développement. C’est pourquoi, à cet âge, les dégâts des drogues s’avèrent particulièrement lourds de conséquence.
Manifestement passionné par cette problématique, le Dr Jacques Jungers, gynécologue, mais avant tout père de trois adolescents, donne des conférences très attendues sur ce thème, dont il a bien voulu nous entretenir.
Que sait-on au juste du cerveau des adolescents ?

mercredi 10 août 2011

Dépendance

Un essai clinique pour évaluer le baclofène contre l'alcoolisme
PARIS - Un essai clinique pour évaluer l'utilisation du baclofène contre l'alcoolisme devrait démarrer en France en décembre ou janvier prochains et ses résultats sont attendus en 2013, a annoncé son coordinateur, le Pr Philippe Jaury.
Le baclofène est un médicament ancien, initialement prescrit en neurologie, mais de plus en plus utilisé hors AMM (autorisation de mise sur le marché) dans le traitement de la dépendance à l'alcool.
Sa popularité a explosé en 2008 avec la publication du livre Le dernier verre d'Olivier Ameisen. Ce cardiologue, devenu alcoolique, y racontait son auto-expérimentation de ce médicament et comment, pris à de très fortes doses, il avait supprimé son envie de boire.
Mais les sociétés savantes et associations intervenant dans le champ de l'alcoolisme (Fédération française d'addictologie, Association nationale de prévention en alcoologie et addictologie...) réclament une évaluation scientifique de cette molécule dans le traitement de la dépendance à l'alcool.
Attendu depuis longtemps
Le lancement d'un essai clinique était évoqué depuis longtemps, mais achoppait jusqu'ici sur le financement, s'agissant d'une molécule déjà ancienne et passée dans le domaine public.
L'essai piloté par le Pr Jaury est un Programme hospitalier de recherche clinique (PHRC), financé par des fonds publics. Le budget précis sera connu en septembre, a indiqué le Pr Jaury à l'AFP. «Je pense qu'on pourra commencer en décembre ou en janvier», a-t-il estimé.
L'étude doit durer un an et ses résultats sont attendus en 2013.
Il s'agira d'un essai «randomisé» en double-aveugle : les participants seront tirés au sort pour déterminer s'ils recevront soit la molécule soit un placebo (produit sans principe actif).
«C'est une étude pragmatique, c'est-à-dire dans la vraie vie», a indiqué le Pr Jaury, médecin libéral et professeur de médecine générale à Paris-Descartes. Elle devrait être conduite en ambulatoire auprès de 300 patients répartis sur huit centres en France.
«Notre hypothèse est que le placebo marche à 20% et que le baclofène marche entre 40 et 50%», a déclaré le Pr Jaury.«Le critère de jugement ne sera pas obligatoirement l'abstinence», a-t-il expliqué. «Il y a aussi la consommation dite normale selon les normes de l'OMS», a-t-il ajouté.

http://www.drogues-et-baclofene.com/index.php?page=dependance

FORUM des associations 2014

Rendez vous à la salle des Ursulines le samedi 6 septembre


L'alcool, cet ennemi destructeur

La drogue qui fait peur, c'est toujours celle de l'étranger. On s'inquiète du cannabis ou de l'héroïne, on oublie les ravages que peut faire l'alcool. Pour les jeunes de tous milieux, c'est de la défonce à pas cher. L’alcoolisme n’est pas une maladie solitaire. Notre société tolère mal l’alcoolémie de la femme. Il en résulte un sentiment de culpabilité très fort qui amène l’isolement ou l’exclusion de la femme dans son milieu familial social et professionnel. Quand une personne sombre, c’est tout l’entourage qui plonge avec elle.

Bonjour, nous sommes le

«La seule limite à notre épanouissement de demain sera nos doutes d’aujourd’hui.»

(Franklin ROOSEVELT)