hospitalisation dûe à l'alcool

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jeudi 8 décembre 2011

La franchement les bras m'en tombe !


ALCOOL : « vodka soaked tampons », la nouvelle ivresse de certains jeunes

L’ingestion par voie anale ou vaginale d’alcool est le nouveau procédé inventé par certains jeunes pour parvenir à l’ivresse plus rapidement. Après le binge-drinking, l’alcoolorexie et même le eyeballing*, une nouvelle « tendance britannique », certains jeunes ont eu l’idée saugrenue d’imbiber des tampons périodiques de vodka puis de se les introduire dans l’anus, court-circuitant ainsi les barrières du tractus gastro-intestinal. Ivresse assurée et coma éthylique dans de nombreux cas…
Car le procédé « vodka soaked (imbiber) tampons » permet, avec une économie d’alcool, d’alimenter ainsi directement le système sanguin, par l’intermédiaire des membranes non protégés
 du vagin et de l'anus. Irritations, surdose, le nombre de cas de comas éthyliques augmente, selon les medias belges et anglosaxons. Une mode hallucinante qui inquiète les autorités américaines... mais qui ne s’arrête pas là car certains ados iraient jusqu’à « boire » par un tuyau placé dans le rectum. Un grand nombre de forums de jeunes fleurissent sur le sujet, avec un objectif, partager cette expérience absurde.
Le procédé est bien entendu indécelable par les parents, en tous cas c’est ce que pensent les usagers. En réalité, selon les mêmes forums, l'alcool est partiellement éliminé par les poumons, serait tout de même détectable par l’odorat. Enfin, dernier « avantage » vu par les usagers, une petite dose suffit.

Le eyeballing (regarder), un phénomène né en Grande-Bretagne dont on n’a pas encore parlé, consiste à se « saouler par les yeux » en se versant de la vodka directement dans les yeux. Une méthode « peu efficace » dans un objectif d’ébriété, car la muqueuse de l’œil et la cornée absorbent très peu d’alcool, mais qui induit, à coup sûr, de graves troubles oculaires.
Un article publié dans la revue Alcohol and Alcoholism, faisait état dès 1999 de différentes méthodes d’absorption “originales”, comme l’injection d’alcool ou ce type de pratique.
Rappelons qu’il y a quelques jours, les NIH américains, tout comme de nombreuses institutions européennes tiraient le signal d’alarme sur l’augmentation de la consommation excessive d’alcool chez les jeunes : La proportion de jeunes consommateurs, même occasionnels, passe de 7% (déjà) des jeunes âgés de seulement 12 ans à près de 70% des adolescents 18 ans. Le taux d’adeptes du Binge drinking suit le même chemin, augmentant aussi avec l'âge.

1 commentaire:

Anonyme a dit…

Bien joué ,vos articles sont très intéressants :celui-là 1 peu particulier :on voit qu' on arrive à la fin :tandis qu' on progresse ,l' alcoolisme s' agrave à n' en plus savoir quoi inventer !Meme sur le web :j' apprend que des jeunes pratique le bidge drinking avec leur webcam :à qui tombera le plus vite dans le coma !
Pour ma par ,je présente une version 12.9 du passive drinking sur Wikipedia .En vous souhaitant une bonne année !L' ébauche est finie et j' espère créer 1 site :sous des airs un peu trop répressif je sors quelques blagues comme "les dessous de l' Elysée" .qui ne manqueront pas de charmer !Encore que ce ne soit pas aussi osé que cet article !

FORUM des associations 2014

Rendez vous à la salle des Ursulines le samedi 6 septembre


L'alcool, cet ennemi destructeur

La drogue qui fait peur, c'est toujours celle de l'étranger. On s'inquiète du cannabis ou de l'héroïne, on oublie les ravages que peut faire l'alcool. Pour les jeunes de tous milieux, c'est de la défonce à pas cher. L’alcoolisme n’est pas une maladie solitaire. Notre société tolère mal l’alcoolémie de la femme. Il en résulte un sentiment de culpabilité très fort qui amène l’isolement ou l’exclusion de la femme dans son milieu familial social et professionnel. Quand une personne sombre, c’est tout l’entourage qui plonge avec elle.

Bonjour, nous sommes le

«La seule limite à notre épanouissement de demain sera nos doutes d’aujourd’hui.»

(Franklin ROOSEVELT)