hospitalisation dûe à l'alcool

hospitalisation dûe à l'alcool

dimanche 19 février 2012

"Le Mal Etre"


Notre époque fabrique du mal-être
Peur du chômage, de l’échec, de l’exclusion, des attentats, du sida et même, peur d’avoir peur… Nos angoisses ont aujourd’hui plusieurs visages, paradoxe d’une société qui ne s’est jamais autant souciée du bien-être. Le sociologue Vincent de Gaulejac   - Professeur de sociologie et directeur d’un laboratoire d’étude des changements sociaux à l’université Paris-VII-.nous livre ses réflexions. Isabelle Taubes
Plus anxieux qu'ailleurs
Objectivement, notre époque est bien moins terrible que d’autres, relativement récentes, notamment les années 30-40, où nous étions pris en tenaille entre le nazisme et le stalinisme. Aucune autre ne s’est autant souciée du bien-être et du bonheur des individus. Face au risque du chômage, de la maladie, nous disposons de couvertures sociales. Certes, le sida assombrit l’horizon de la sexualité, mais il n’est en rien comparable à la peste ! Pourtant, globalement, nous sommes, en France, beaucoup plus anxieux que d’autres peuples qui n’ont pas aussi facilement que nous accès aux soins médicaux et aux institutions d’aide…

lundi 6 février 2012

Petit Rappel !!!


Dépendance à l’alcool : symptômes & solutions
Plus de cinq millions de personnes en France souffrent d’une dépendance à l’alcool. Lorsque l’alcool devient une addiction, le sevrage est un combat de chaque instant. Cette démarche nécessite un accompagnement médical, psychologique et familial sur le long terme.
Quels sont les symptômes de la dépendance ?
Substance psychoactive, l'alcool peut entraîner une véritable addiction. On parle d’alcoolisme ou de dépendance à l'alcool quand la personne ne contrôle plus sa consommation d'alcool.

L’alcoolisme est une maladie chronique, qui s’installe insidieusement. Certains signes permettent toutefois de reconnaître la dépendance à l'alcool :
• la personne boit dès le matin
• elle boit seule et parfois en cachette
• les boissons qu’elle consomme sont presque toujours les mêmes
• elle supporte de mieux en mieux l'alcool et a besoin d’une quantité d’alcool de plus en plus importante
• la consommation d’alcool devient l’activité la plus importante de sa journée (les autres activités et obligations deviennent secondaires)
• la personne n’arrive pas à arrêter, même si elle le désire .
En cas de sevrage, la personne est en état de manque (tremblements, accélération cardiaque, sueurs, hallucinations et crises convulsives).

Quelles sont les solutions pour s’en sortir ?
Chaque personne dépendante à l'alcool a un parcours différent. C’est pourquoi il n’y a pas de solution toute faite pour venir à bout de l'alcoolisme. La première étape indispensable est la prise de conscience par la personne de son état de dépendance. En effet, c’est la personne elle-même et non son entourage qui doit décider d’entreprendre le sevrage. Dans tous les cas, le sevrage doit être accompagné. L'arrêt total de la consommation d'alcool s’effectue sous contrôle médical, soit en consultation (cure ambulatoire) soit à l'hôpital (cure hospitalière).
Le suivi médical a pour but de compenser les effets du manque par une hydratation suffisante, l’apport de vitamines et, éventuellement, de médicaments sédatifs.
L’écoute et le soutien psychologique par un médecin généraliste, un psychiatre ou un psychologue, sont une part essentielle de la prise en charge. Le soutien de l’entourage est également très important, même si les proches se sentent souvent démunis face à ce problème.

FORUM des associations 2014

Rendez vous à la salle des Ursulines le samedi 6 septembre


L'alcool, cet ennemi destructeur

La drogue qui fait peur, c'est toujours celle de l'étranger. On s'inquiète du cannabis ou de l'héroïne, on oublie les ravages que peut faire l'alcool. Pour les jeunes de tous milieux, c'est de la défonce à pas cher. L’alcoolisme n’est pas une maladie solitaire. Notre société tolère mal l’alcoolémie de la femme. Il en résulte un sentiment de culpabilité très fort qui amène l’isolement ou l’exclusion de la femme dans son milieu familial social et professionnel. Quand une personne sombre, c’est tout l’entourage qui plonge avec elle.

Bonjour, nous sommes le

«La seule limite à notre épanouissement de demain sera nos doutes d’aujourd’hui.»

(Franklin ROOSEVELT)