hospitalisation dûe à l'alcool

hospitalisation dûe à l'alcool

mardi 25 août 2009

Forum des Associations

Comme chaque année lors du Forum des Associations qui se tiendra le samedi 5 septembre 2009 de 9 h à 18 h - salle des Ursulines à Lannion, l'équipe de l'Association Alcool Assistance la Croix d'Or vous invite à venir à son stand pour évoquer l'addiction à l'alcool.

jeudi 13 août 2009

Le gâteau du bonheur


Ingrédients :
-Un maximum d'amour,
-Un zeste de confiance,
-Une pincée d'attention,
-Trois gouttes de tendresse,
-Un brin de liberté,
-Une poignée de sécurité.

Garnitures :
-Beaucoup de bonne humeur et de joie de vivre.

Préparation :
-Faites déborder le bol d'amour en y ajoutant progressivement la confiance.
-Pour obtenir une pâte légère,mélanger les gouttes de tendresse.
-Versez cette pâte dans un moule préalablement enduit d'attention.
-Pour une cuisson finale,chauffer le gâteau à la chaleur humaine.

Touches finales :
-Nappez le gâteau d'un coulis de liberté et sou poudrez le tout d'amitié.

Remarque importante :
-Surtout ne pas laisser refroidir,il perdrait de sa saveur.

Recette de la maman d'Yvette.

lundi 10 août 2009

Réunion mensuelle



Vendredi 14 Août 2009 à 20h30
Centre Jean Savidan
22300 Lannion

jeudi 6 août 2009

Ménage à trois


"Au début,dans notre vie commune,nous étions deux,l'autre et moi.L'autre c'était mon mari ou peut être ma femme ou mon enfant ou mon père ou ma mère.
Alors que nous vivions heureux,un troisième est arrivé.Il se nommait alcool.Il s'est d'abord glissé entre nous,puis il a tout fait pour séduire l'autre et petit à petit,l'autre est devenu tout autre.
Il a d'abord flirté puis est tombé si fort amoureux d'Alcool qu,il lui a consacré tous les instants de sa vie.Il ne pensait plus qu'à lui et il en est tombé malade.Il n'était plus l'autre que moi j'avais choisi,que j'avais connu,d'ailleurs on l'appelait maintenant "l'alcoolique".
Moi,je n'avais pas bu,mais j'étais aussi malade de l'alcool de l'autre et on m'a appelé "l'entourage".Je ne comprenais pas ce que l'autre avait trouvé au point d'oublier tout,même notre bonheur passé.Je ne connaissais rien de ce personnage qui avait envahi notre vie,ni ses attraits,ni le plaisir qu'il pouvait procurer,ni non plus les effets dévastateurs qu'il était capable d'engendrer.Dans ces conditions,comment aurais-je pu me défendre,comprendre les raisons de l'autre et chasser l'intrus?
Alors,je me suis résigné(e),refermé(e),j'ai nié l'évidence,j'ai eu honte pour l'autre,honte pour moi.Puis je me suis révoltée.J'ai voulu mettre Alcool à la porte,par mes reproches,mes cris,
mes colères mais l'autre et Alcool étaient si intimement liés que je ne pouvais rien pour convaincre l'autre.
Puis d'autres,semblables à moi,m'ont parlé,m'ont expliqué qui était Alcool et de quoi il était capable.Ils m'ont dit qu'il ne fallait pas que je me laisse grignoter la vie.Ils m'ont fait comprendre comment Alcool avait pris l'autre en otage.Ils m'ont appris à regarder Alcool en face,à connaître les moyens pour parler avec l'autre,l'accompagner dans sa réflexion,l'aider à écarter Alcool,puis prendre la décision d'aller se soigner pour que nous puissions retrouver,
l'autre et moi,le début de notre histoire,peut-être pas tout à fait le même début,mais celui qui
nous permettrait de vivre à nouveau heureux".
Extrait de la revue Alcool Assistance

FORUM des associations 2014

Rendez vous à la salle des Ursulines le samedi 6 septembre


L'alcool, cet ennemi destructeur

La drogue qui fait peur, c'est toujours celle de l'étranger. On s'inquiète du cannabis ou de l'héroïne, on oublie les ravages que peut faire l'alcool. Pour les jeunes de tous milieux, c'est de la défonce à pas cher. L’alcoolisme n’est pas une maladie solitaire. Notre société tolère mal l’alcoolémie de la femme. Il en résulte un sentiment de culpabilité très fort qui amène l’isolement ou l’exclusion de la femme dans son milieu familial social et professionnel. Quand une personne sombre, c’est tout l’entourage qui plonge avec elle.

Bonjour, nous sommes le

«La seule limite à notre épanouissement de demain sera nos doutes d’aujourd’hui.»

(Franklin ROOSEVELT)