hospitalisation dûe à l'alcool

hospitalisation dûe à l'alcool

lundi 14 février 2011

Rapport O.M.S Alarmant !

Près de 4% des décès mondiaux sont liés à l'alcool. Chez les jeunes âgés de 15 à 29 ans, ce taux grimpe jusqu'à 9%.
11 février 2011 | Genève
En étant responsable de 4% des décès dans la monde, l’alcool serait plus meurtrier que le Sida, le paludisme ou la tuberculose. Ce constat émane d’une enquête réalisée par l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS) sur la consommation excessive d’alcool. Deux tendances se dessinent : La situation serait particulièrement préoccupante chez les jeunes. Et la proportion de décès imputables à l’alcool serait en forte augmentation en Afrique et en Asie.
On définit l’usage nocif de l’alcool comme une consommation excessive au point qu’elle entraîne des dommages pour la santé et souvent également des conséquences sociales indésirables.
Dans son « rapport international de situation sur l’alcool et la santé », l’OMS a décortiqué les accidents, cancers, traumatismes, cirrhoses du foie, maladies cardiovasculaires et autres incidents fatals. La conclusion est sans appel
 : L’organisation estime que la consommation excessive d’alcool est la cause de 2,5 millions de décès chaque année dans le monde. Ce chiffre représente près de 4% du total des décès, mais les jeunes générations sont particulièrement exposées : Chez les 15-29 ans, on dénombre 320 000 morts, soit 9% de cette tranche d’âge. L’OMS s’inquiète tout particulièrement de nouvelles pratiques comme le « binge drinking » Cette pratique consiste à s’enivrer massivement et le plus rapidement, souvent pendant le week-end ou lors de fêtes. Le moyen pour y arriver est simple : boire un maximum d’alcool en un minimum de temps.
Cette recherche de sensations fortes peut avoir de graves conséquences : traumatismes, trouble respiratoire, comas,…

Certes, des mesures ont été prises par certains Etats membres de l’OMS pour réduire le nombre de drames causés par l’alcool (notamment en réduisant les points de vente et en augmentant l’âge légal donnant accès à son achat), mais l’organisation basée à Genève estime que les actions entreprises sont encore trop modestes et insuffisamment relayées. L’OMS déplore ainsi que « 
trop de pays n’ont mis en place que des programmes de prévention et des politiques de faible portée ». En 2005 chez les plus de 15 ans, et à l’échelle de la planète, la consommation d’alcool était en moyenne de 6,13 litres par personne et par an.
Ø  Beaucoup de pays n’ont mis en place que des programmes de prévention et des politiques de faible portée.

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L'alcool, cet ennemi destructeur

La drogue qui fait peur, c'est toujours celle de l'étranger. On s'inquiète du cannabis ou de l'héroïne, on oublie les ravages que peut faire l'alcool. Pour les jeunes de tous milieux, c'est de la défonce à pas cher. L’alcoolisme n’est pas une maladie solitaire. Notre société tolère mal l’alcoolémie de la femme. Il en résulte un sentiment de culpabilité très fort qui amène l’isolement ou l’exclusion de la femme dans son milieu familial social et professionnel. Quand une personne sombre, c’est tout l’entourage qui plonge avec elle.

Bonjour, nous sommes le

«La seule limite à notre épanouissement de demain sera nos doutes d’aujourd’hui.»

(Franklin ROOSEVELT)